Je vous adore
Je vous adore, je vous adore .
Je vous ressens dans mes pores
J’écoute votre cœur qui s’accélère
J’ai un besoin urgent de prendre l’’air.
Je vous adore
Quand vos yeux me dévorent.
Vous jouez à cache-cache avec ma tendresse.
Je ne voudrais pas souffrir de votre maladresse.
Je vous adore,
Moulée et décorée comme une amphore.
Je joue à colin-maillard avec votre rigueur
Car vous ne voulez point me donner du bonheur.
Je vous adore, je vous adore,
Car je veux nouer encore
Tant de liens avec votre âme et votre corps
Mon seul secours vient de Dieu que j‘implore.
Avec grande impatience j’attends chaque nuit.
Mon âme se promène aux douze coups de minuit.
Je comprends alors vos prières toutes pleines de vos désirs.
Comme un bébé, je suis enfin dans vos bras pour être bercé.
Vous prenez ainsi le temps de chuchoter
à mes oreilles je vous adore mon amour depuis l’’ instant
où tous deux agenouillés côte à côte dans cette basilique,
je n’entends plus que le feu de vos yeux.
Vous prenez ainsi le temps de chuchoter
à mes oreilles je vous adore mon amour depuis l’’ instant
où tous deux agenouillés côte à côte dans cette basilique,
je n’entends plus que le feu de vos yeux.
ALEX J. URI
27 décembre 2011
Je vous adore
Je vous adore
Et moi je dors.
Mais je vous aime
C’est la n-ième
Vous êtes cruelle
Et vous si seul
Je vous adore
Une fois encore
Mais je vous aime
Tout un poème
Vous êtes cruelle
Vous si sensuel
Je vous adore
Conquistador
Mais je vous aime
Très cher bohème
Vous êtes cruelle
Et vous fidèle ?
Je vous adore
Est-ce du pur or
Mais je vous aime
Est-ce un baptême
Vous êtes cruelle
Mais point pucelle
Alex J, Uri 27 décembre 2011