Vos lèvres sont naturelles et apaisées.
Elles sont comme des fleurs que les abeilles butinent
Offrant du nectar pour être libertines.
Elles n’attendent que le partage d’un baiser.
Je vous aime et je ne dois surtout pas le dire
car moi avec le Diable et mes noirs desseins
Je ne chercherais qu’à vous tripoter les seins
Mais vous, si près Dieu, évitez de médire !
Exquise pécheresse, quelle arrogance !
Or, vos chastes attraits sont en concurrence
Car les beautés virtuelles se déshabillent.
Ce cœur blessé a le secret du mystère.
Vos larmes creusent en moi une rivière
Votre étreinte brûlante chasse nos bisbilles.
Alex J.URI
22 novembre 2011
Un très beau poème rempli de mystère, qui se laisse lire .Nanadydy
RépondreSupprimerInvitation au voyage des sens ...très beau !!!!
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