VIRUS
Ce virus en moi s’appelle folle passion
Votre baiser brûlant me l’a inoculé.
Vous voulez maintenant tout faire pour reculer.
Dans mes cellules, j’entends de l’émotion.
Nos enzymes goulûment vous attendrissent.
Vous me laissez mourir ? Je n’ai plus d’oxygène.
Embrassez-moi donc en tuant vos hyènes
Sans me parler de chacals qui pourrissent.
Votre présence est mon antibiotique
Ma fièvre monte encore et je transpire.
Nos lèvres capricieuses et symbiotiques
Ma fièvre monte encore et je transpire.
Nos lèvres capricieuses et symbiotiques
Transfusent la nuit pour éviter le pire.
Ô Vierge immaculée, c’est lui mon bien-aimé.
Ô Vierge immaculée, c’est lui mon bien-aimé.
Nous sommes deux abeilles voulant essaimer.
Alex J. URI
06 janvier 2012
06 janvier 2012
Que dire ,sinon que c'est un bon antibiotique. merci poète. Nanadydy
RépondreSupprimerIngrid Fabignon "MAGNIFIQUE"
RépondreSupprimer"Souhaitons à ce merveilleux virus une contamination exponentielle !"
RépondreSupprimerAgnès Rinaldo
C'est trop beau et d'une sensualité !!!
RépondreSupprimer"Un régal ...merci Alex ,bisous"
RépondreSupprimerDany Sorel
Le virus fait bien des dégâts comme toujours, une présence voulue pour soigner une blessure, qui se refermera avec ces antibiotiques. Ces phrases qui raisonnent en moi avec tendresse et douceur, alors là, tout mon corps s'enflamme, j'aurai aimé être votre bien-aimée. Merci poète de m'avoir fait vibrer sans vous atteindre. Je vous embrasse et chapeau pour ce plaisir partagé.
RépondreSupprimerAime