Volcan, quand je vous regarde , je ne vous entends pas.
Je n’entends pas vos mots. Que Dieu vous garde !
Je n’entends que le mouvement de vos lèvres.
Je n’entends que le feu de vos yeux .
Tendresse, vos larmes chuchotent à mon visage
que vos hormones s’entrechoquent quand je vous dévisage.
Je n’entends pas vos soupirs.
Je n’entends que tout ce qui ruisselle en vous.
Volcan, mon esprit s’embrase de vos paroles,
Qui se nourrissent de paraboles.
Vous m’envahissez comme une perfusion.
J’ai le vertige de vos effusions.
Tendresse vous vibrez en fusion pour un Volcan en éruption.
Alex J. URI
7décembre 2011
Beaucoup de tendresses,c'est une belle preuve d'amour.
RépondreSupprimerCes deux mots si différents sont si bien associés au bout de ta plume , merci Alex ...
RépondreSupprimerQuelle déclaration que vous faîtes mon ami Alex!deux mots si contraires peuvent se marier et être en osmose; seul un poète, " le maître des mots" peut le faire. tu fais d'un terme anodin une couleur, une musique, et ces mots ne sont plus que rêves et enchantement. Merci Nanadydy
RépondreSupprimer"Alex, tu m'amuses avec ton caprice envers le volcan. Les mots prennent les tournures du visage de celui qui les écrit. c'est tellement rigolant! Si tu as le vertige à cause des effusions du volcan, tes mots bien choisis sont vertigineux parce qu'ils ne savent ou se positionner. Super!!!"
RépondreSupprimerDaniel Baptiste