Les dieux s’affolent
Vos lèvres sont humectées de ma prière.
Votre langue a des morsures car vous mentez
Vos yeux de vampire en étaient tourmentés.
Vos éclats de rire vous jettent dans une soufrière.
Les dieux, que vous implorez souvent, s’affolent.
L’amour infecté de vos extravagances
Ne semble plus jaillir d’une résurgence.
Ainsi se répand une tristesse folle.
Alex J. URI
25 février 2012
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